Le partage de 9 cheminements sur le camino,entre Bordeaux et Santiago de Compostelle,Fisterra,Muxia, ainsi que le partage de diverses autres randonnées.
lundi 1 décembre 2014
dimanche 2 novembre 2014
samedi 1 novembre 2014
vendredi 3 octobre 2014
jeudi 2 octobre 2014
mercredi 3 septembre 2014
Les statistiques d’Août 2014.
Ce sont 51 219 pèlerins qui ont retiré en août, la
Compostela, soit 10% de plus que l’an dernier. Sur 8 mois ce sont 173 532
pèlerins qui l’ont obtenue, soit +9% par rapport à 2013.
En août, ce sont les espagnols qui étaient les plus
nombreux, 61% de l’ensemble. Puis, c’étaient les italiens, 15%, les portugais, un
peu plus de 4%, les allemands, un peu moins de 4%, les français, 2%, un peu
plus d’un millier.
Globalement les pèlerins étaient jeunes : 37% d’entre
eux avaient moins de 30 ans et 6% plus de 60 ans.
lundi 1 septembre 2014
El camino 2014, Compostelle - Muxia - Fisterra: coucher de soleil à Fisterra.
En ce samedi 30 août, au soir, l'opportunité de contempler le coucher de soleil, en bâteau, m'est donnée! Plaisir immense au contact de l'eau face au Soleil et à la Lune, sous le regard des oiseaux de mer, avec le Faro comme gardien de Vie! Le point 0 du Camino devient un bouquet de couleurs, annonciateur et témoin à la fois, d'une Renaissance!
El camino 2014, Compostelle - Muxia - Fisterra: étape à Fisterra.
En ce samedi 30 août, tandis qu'il accomplit la dernière séquence avant Santiago, de son périple 2014, le cheminant a en tête une question posée par un membre du Groupe Facebook de "Cheminer": "comment avez vous vécu les 100 derniers kms?". Plusieurs réflexions viennent à son esprit:
Les cent derniers kms.
- l'attente, l'espérance d'une émotion à l'arrivée devant la Cathédrale...
- le sentiment que c'est bientôt la fin... de quelque chose, une "angoisse" de l'après?
- l'impression progressive de retrouver les bruits du monde civil ( la foule, les cris, le moindre respect, des "profils" nouveaux de pèlerins...) et d'entrer dans l'anonymat collectif...
- le sentiment que "le voyage en soi" est terminé
- l'envie égoïste de transmettre sa joie en ayant fait le chemin
- un temps de "pré-synthèse" sur le sens du Chemin et ses apports...
Le cheminement est d'abord un temps de réflexion, méditation, sur soi, sur les autres!
- quelle image ont les autres de moi? que pensent ils de moi? comment pourrais je devenir plus proches d'eux? Poser la question renvoie surement à une inquiétude, une peur! et eux, se posent ils la question? N'a t-on qu'une image?
- pourquoi la majorité des liens qui nous unissent à autrui ne durent pas plus que le temps de l'instantané ou de l'éphémère? pourquoi ce besoin moderne de se relier à un smartphone, avec l'illusion, d'être plus proche des autres et surtout d'être attendu d'eux! L'appareil comble un vide... par un autre vide!
- pourquoi le "buen camino" du Chemin disparaît dans la ville?
- pourquoi sommes nous toujours "en décalage" avec autrui? et pourquoi l'attention donnée à l'autre ne résiste pas aux quelques secondes d'harmonie, tandis que le temps va immédiatement broyer la qualité de l'instant vécu!
Les cent derniers kms.
- l'attente, l'espérance d'une émotion à l'arrivée devant la Cathédrale...
- le sentiment que c'est bientôt la fin... de quelque chose, une "angoisse" de l'après?
- l'impression progressive de retrouver les bruits du monde civil ( la foule, les cris, le moindre respect, des "profils" nouveaux de pèlerins...) et d'entrer dans l'anonymat collectif...
- le sentiment que "le voyage en soi" est terminé
- l'envie égoïste de transmettre sa joie en ayant fait le chemin
- un temps de "pré-synthèse" sur le sens du Chemin et ses apports...
Le cheminement est d'abord un temps de réflexion, méditation, sur soi, sur les autres!
- quelle image ont les autres de moi? que pensent ils de moi? comment pourrais je devenir plus proches d'eux? Poser la question renvoie surement à une inquiétude, une peur! et eux, se posent ils la question? N'a t-on qu'une image?
- pourquoi la majorité des liens qui nous unissent à autrui ne durent pas plus que le temps de l'instantané ou de l'éphémère? pourquoi ce besoin moderne de se relier à un smartphone, avec l'illusion, d'être plus proche des autres et surtout d'être attendu d'eux! L'appareil comble un vide... par un autre vide!
- pourquoi le "buen camino" du Chemin disparaît dans la ville?
- pourquoi sommes nous toujours "en décalage" avec autrui? et pourquoi l'attention donnée à l'autre ne résiste pas aux quelques secondes d'harmonie, tandis que le temps va immédiatement broyer la qualité de l'instant vécu!
vendredi 29 août 2014
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