Lors de son départ sur le Chemin, Jules Girod a
« posté » sur « Cheminer » une étrange photo. Il m’a donné
envie d’en savoir plus sur cette photo de cadran solaire.
Ainsi sur divers sites ou blogs (http://www.visites-guidees.net/?p=81, http://titeparisienne.over-blog.net/article-sur-le-chemin-de-compostelle-rue-saint-jacques-paris-5eme-magnifique-cadran-solaire-signe-dali-116733081.html, http://www.paris-unplugged.fr/paris-5-le-cadran-de-dali/)
j’ai découvert le sens de cet étrange cadran solaire.
« Au 27 Rue
St Jacques, à Paris, on peut contempler un étrange cadran solaire. Ce
moulage en ciment représente une tête de femme dont le haut ressemble
à une coquille St Jacques en allusion à la rue et à St Jacques de Compostelle.
Le cadran est légèrement
vers l’ouest, il manque un peu de précision. Les sourcils en forme de flamme
évoquent les rayons ardents du soleil, et les cheveux, ramenés derrière la nuque, retombent
sur les épaules. Il est l’œuvre de Salvador DALI.
A midi, le mardi 15 novembre 1966, le
« premier évènement du XXIè siècle » a eu lieu. Juché dans la nacelle
d’un élévateur, le Maître Salvador Dali dévoile sa nouvelle oeuvre, au rythme des instruments de
la fanfare des Beaux-Arts.
Cette oeuvre de ciment, fut réalisée en l’honneur des amis du
sculpteur qui possédaient le magasin d’angle.
La grisaille d’Automne se prêtant mal à l’exercice, un projecteur fit quelques temps office de soleil. L’oeuvre est aussi un hommage discret aux pèlerins de Saint Jacques de Compostelle auxquels la rue fait directement référence ».
La grisaille d’Automne se prêtant mal à l’exercice, un projecteur fit quelques temps office de soleil. L’oeuvre est aussi un hommage discret aux pèlerins de Saint Jacques de Compostelle auxquels la rue fait directement référence ».
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