Cheminer en 2016 avec les pèlerins partis de Saint Jean Pied De Port.

En 2016, sur les 277 913 pèlerins ayant retiré la compostela, 33 663 ont indiqué Saint Jean Pied De Port comme lieu de départ de leur camino. Soit 12.11%.
Cette part relative moyenne  dépasse le seuil des 20% en octobre et novembre.

Cheminer en 2016 avec les pèlerins partis de Vezelay ou Le Puy.

En 2016, 277 913 pèlerins ont retiré la compostela. Parmi eux, 194, soit 0.07% ont indiqué Vezelay comme lieu de départ, ce qui est objectivement très faible. De même 3 397 ont mentionné Le Puy, soit 1.22%. A titre de comparaison, notons que les départs de Saint Jean Pied De Port ressortent à 33 663 pèlerins, soit 12.11%

Les chiffres 2016 à Santiago:277 915 pèlerins.

Ce sont donc 277 915 pèlerins qui ont retiré la compostela en 2016. Soit +6% par rapport à 2015        ( 262 457 pèlerins cette année là). On note un ralentissement de la croissance: elle était de +10% entre 2014 et 2015.

Les statistiques de Novembre 2016 à Santiago.

Avec 6 394 pèlerins en novembre 2016, soit 22% de plus qu’en novembre 2015 (5 229 pèlerins), le nombre total de pèlerins sur 11 mois, 275 045 pèlerins, est de +4.8% plus élevé que le nombre annuel de pèlerins en 2015, 262 459 pèlerins.

Cheminer à Collioure, Pyrénées orientales, fin octobre 2016.

Cheminer parmi la lumière apaisante, souveraine et douce d'un soir....

Cheminer sur les hauts de COLLIOURE, côte vermeille, en Pyrénées Orientales, fin octobre 2016.

Une très belle randonnée en boucle à partir de la rue du Temple à COLLIOURE, d’abord  vers l’ermitage Notre Dame de Consolation, altitude 115m, puis le col de Mollo, 229m, puis un retour par le col d’en Raixat, le fort Dugommier, une petite tour (ancien moulin à grain), et enfin la cave coopérative de Collioure . Huit kilomètres environ parmi les vignobles, prévoir 2h30 à 3h, selon le temps mis à contempler tous ces paysages magnifiques.

Randonner sur les Chemins de la Liberté en Pyrénées Orientales, novembre 2016.

« Ces chemins sont, en Pyrénées orientales, les chemins frontaliers du département : lls  furent de 1940 à 1944 des chemins d’espoir, de liberté face à l’occupant (résistants pourchassés, réfractaires du Service de travail obligatoire cherchant à rejoindre les Forces Françaises Libres, passeurs des villages frontaliers menacés de  déportation ou de mort, pilotes alliés abattus dans le ciel de France  échappant à l’occupant, enfin juifs victimes de la persécution nazie…) ; la frontière des Pyrénées-Orientales, défendue par l’armée allemande et par la Guardia Civil espagnole, était un obstacle difficile à franchir.

Comment donc oublier ces anonymes catalans qui ont caché, nourri au péril de leur vie ou fait passer des inconnus ? »

NB : les photos en noir et blanc sont extraites de http://chemindelaliberte.fr/page-accueil/le-chemin-de-la-liberte?showall=&limitstart=