« Ces
chemins sont, en Pyrénées orientales, les chemins frontaliers du département :
lls furent de 1940 à 1944 des chemins d’espoir, de liberté face à
l’occupant (résistants pourchassés, réfractaires du Service de travail
obligatoire cherchant à rejoindre les Forces Françaises Libres, passeurs des
villages frontaliers menacés de déportation ou de mort, pilotes alliés
abattus dans le ciel de France échappant à l’occupant, enfin juifs
victimes de la persécution nazie…) ; la frontière des
Pyrénées-Orientales, défendue par l’armée allemande et par la Guardia
Civil espagnole, était un obstacle difficile à franchir.
Comment
donc oublier ces anonymes catalans qui ont caché, nourri au péril de leur vie
ou fait passer des inconnus ? »
NB :
les photos en noir et blanc sont extraites de http://chemindelaliberte.fr/page-accueil/le-chemin-de-la-liberte?showall=&limitstart=
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