« L’un
des grands intérêts du Chemin est de libérer les individus qui l’empruntent.
Libération par rapport à la condition sociale pour beaucoup, à l’église pour
certains. Il n’y a pas de condition sociale sur le Chemin. C’est un passage
libérateur car rien n’asservit l’homme qui marche. Plus on sort de soi (le soi
de la culture, de l’éducation, de la famille, de la société, etc.) et plus l’on
devient soi-même. Plus on allège son sac-sa vie- pour ne garder que l’essentiel
et mieux l’on avance. »
Extrait de l’ouvrage
de Laurence Lacour, « Jendia, jendé. Tout homme est homme. » éditions
Bayard 2003.
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