..."J'aime la simplicité et la franchise de ces paroles qui ne tentent pas d'expliquer, ce qui peut être est inexplicable. Comme l'élan pèlerin d'ailleurs. En témoigne, ce poème mural qui recouvre le mur d'une usine à la périphérie de Najera..."
Peregrino, quién te llama ?
Peregrino, quién te llama ?
Qué fuerza
oculta te artrae ?
Ni las
gentes del Camino,
Ni las
costumbres rurales.
No es la
historia y la cultura,
Ni el gallo
de la Calzada
Ni el
Palacio de Gaudi,
Ni el
castillo Ponferrada.
Todo lo veo
al pasar
Y es un gozo
verlo todo
Mas la voz
que a mi me llama,
La siento
mucho hondo.
La fuerza
que a mi me empuja,
La fuerza
que a mi me artrae
No sé ni
explicarla yo,
Solo El de
Arriba lo sabe !"
Extrait de l’ouvrage de José
et Michel Laplane, itinéraire spirituel pour Compostelle, éditions La Table
Ronde.
Bonjour, moi j'ai pris le temps de lire ce poeme mural près de Najera, cette année, (comme je m'étais mise à l'espagnol, je l'ai traduit, je l'ai trouvé très beau...
RépondreSupprimerComme c'est bien de trouver des pélerins qui écrivent...ce qui ne peut être dit!
A. LVdB